La roseraie du château
7 Mai 2015 , Rédigé par Bernard de la Marche
La roseraie de l'alchimiste
Depuis maintenant deux ans dans le jardin du sud, devant la métairie du Château, nous essayons de réaliser une roseraie.
Les roses, si belles et si fragiles, si colorées et si éphémères, si fines et pourtant si harmonieuses. Fleurs des roi ou parures des reines, compagnes des poêtes et amies des jardiniers, elles ont toujours été proches de ma vision de la beauté.
Alors j'ai voulu les mettres dans un écrin de verdure.
Nous avons commencé par un massif le long du chemin d'accès, un massif avec des pergolas en bois pour faire monter des rosiers grimpants et entre des rosiers buissons.
Des achats chez le spéciualistes des roses anciennes André Eve à Pithiviers, chez Delbard et plus classiquement dans les grandes surfaces.
Un peu de tout au début, pour commencer à créer une certaine exubérance. Quelques arbustes, saule crevette, prunus Valéria, et autres acer et des vivaces pour protéger des "mauvaises herbes". Tous ces éléments devant donner de l'épaisseur à mon massif.
Et puis le massif s'est agrandi. D'autres bandes de terres ont éte retournées le long des palissades pour planter des rosiers lianes, des rosiers grimpants, des rosiers buissons. Des nouveaux massifs ont été créés dans cette terre très argileuse difficile à travailler. Beaucoup de sacs de terreau ont été rajoutés et mélangés à cette terre lourdes et bien évidemment de la corne broyée et des billes d'argiles pour jouer au "Stéphane Marie" en plantant toutes ces roses.
Cette année (en 2015) j'ai déjà planté plus de 25 rosiers dans les massifs qui ont été rajoutés. Pour la première fois, également, j'ai commencé à créer des masses de 3 rosiers de la même variété pour les mettre plus en valeur, plutôt que de poser une multitudes de fleurs différentes. Toutes ces variétés puisque nous sommes au sud, sont avec des couleurs chaudes: des rouges, des roses, des jaunes.
Pour donner aussi de la vie à ces massifs, de nombreuses vivaces ont été plantées. J'espère ainsi diminuer le nombre de mauvaises herbes. Encore que, dans mon ignorance, j'arrache surement des plantes qui pourraient décorer et épaissir mes massifs.
L'apprentissage va être long pour le jardinier en herbe même si je choisi la facilité en restreignant le nombre de variétés.
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