Les sources du château de Celon
Les sources du château
Nous vous avons souvent parlé de toute l'eau qui coule aux abords du château... Vous connaissez les douves qui entoure le corps du logis :
Les anciennes
Et les nouvelles...
.
Ces douves que nous pensions alimenter par une seule source ...
Nous savions aussi qu'il y avait des puits, dont celui-ci qui est au bord des douves...
Nous savions aussi qu'il y avait des infiltrations d'eau à certains endroits du parc, comme ici ....
où dans l'ex futur bassin de Sylvie ...
Mais nous ne savions pas qu'il y avait tant d'eau et de sources dans le domaine:
En effet, pour être sur de bien connaître le parc avant de travailler à son
aménagement, nous avons fait appel à un sourcier !
Nous lui avons envoyé un plan cadastral du château et voilà ce qu'il nous a renvoyer. Extraordinaire, n'est-ce pas !
Nous ne savons pas comment il a fait, mais, uniquement avec ce plan il nous a identifié 23 sources ! Soit plus de 50 passages de cours d'eau souterrains dans le
domaine.
Bien sur me direz-vous, c'est normal, le château a été construit pour protéger des étangs et des élevages de poissons. L'étang était d'ailleurs encore là jusqu'au milieu du XXe siècle
: Dans cette zone située devant le vieil arbre. Mais de là à imaginer
que tant d'eau coulait sous nos pieds....
Même sous le château de l'eau coule ....
Nous avons déjà eu des remontées d'eau pendant les travaux, mais nous pensions que c'était le creusement des douves qui avait produit ces remontées. C'est la raison pour laquelle nous avions
demandé au terrassier de nous faire le dévidoire et ainsi baisser le niveau de ces nouvelles douves :
Mais là, la situation devient plus complexe...
Nous allons certainemnt demandé au sourcier de venir au manoir pour que nous puissions identifier, traçer les lignes de ces cours d'eau souterrains et voir où nous pouvons installer des pompes,
des bassins, des fontaines, des ruisseaux, voir refaire apparaître l'étang.
Bien sur terminer l'aménagement du dévidoire
pour réguler les douves. Mais aussi installer des pompes pour récupérer l'eau ! Bien sur des pompes solaires, pour rester dans l'air du temps et dans l'enveloppe budgetaire...
Nous avons surtout hâte de voir le sourcier au travail, pour qu'il nous explique comment il a fait et qu'il nous aide dans nos choix des sources les plus faciles à exploiter.
Comme vous le voyez, comme la première tranche de travaux est terminé, nous travaillons maintenant sur l'aménagement du parc.
Nous avons déjà trouver l'emplacement pour un jardin "zen"
Dans cet espace en triangle, délimité par ces deux rangées d'arbres avec la rivière d'un côté. Nous avons déjà trouvé le style, un mélange de ces représentations :
de ce lieu
de ces objets :
Pour décorer un endroit paisible, qui nous permettra d'écouter la rivière couler et les fontaines chanter.
pour info au desssus c'est un "shishi odoshi"
(un chasse chevreuil en japonais)
Bien sur, encore du temps avant tout celà. Notre objectif c'est d'avoir terminé pour mars 2010.
Et voir si en même temps on peut installer sur le côté du chemin d'accès, un parking pour les voitures et un garage couvert pour le tracteur.
Vous voyez, là à gauche...Un endroit pour que les visiteurs et les locatoires puissent garer leur véhicules et que votre serviteur puisse garer un bel engin ..........
Rouge
ou orange !
J'hésite encore ......
Peut-être ouvrir une souscription nous permettrait de voir toutes ces idées se matérialiser. J'ai joué au loto samedi, mais je n'ai gagner que 5 € au lieu des 100 000 € que j'avais
demandé. Je ne comprends pas !
Peut être vous aviez demandé avant moi !
Peut-être qu'il y avait la queue au guichet de la chance !
Peut-être que j'aurai dû réclamer avant d'en avoir besoin !
Tant pis ! Je vais continuer à imaginer le parc.......
La chatelaîne va continuer à parcourir les cieux ...
Le jardinier des rêves va poursuivre sa queste...
Et puis, le symbole est beau.
Toutes ces rivières souterraines, ces cours d'eau secrets, qui parcourent le domaine nourrissant le monde, à l'image de nos envies qui nourissent nos vies. Et qui tordent les
arbres comme nos pensées peuvent tordrent nos heures.